Un commencement par une trés longue fin

Pour ce marré un max je vais écrire une histoire et vous pourrez chaqun son tour écrire la suite.

Il était une fois, dans un passé qui se trouvait être trés proche, un jeune taureau qui broutait tranquilement de l'herbe dans un paturage de nos belles Alpes. Qui sont peuplé de différente sorte d'annimaux telle que les marottes, les loutres, l'ours, les chamoix et bien dautre encore. Mais la vie végétale est aussi présente telle que l'herbe (quesqu'un paturage sans herbe???), les arbres, les buissons. Bref. Donc notre taureau qui broutait de l'herbe dans nos alpes, qui aimait beaucoup Georgette. Georgette étant une vache de l'éleveur voisin. Qui se trouvait être dans le même valon perdu que notre taureau. Donc notre taureau qui broutait de l'herbe dans nos alpes et qui aimait Georgette se trouve soudainement frappé par ce que l'on appelle : l'effet papillon.

Effet papillon:
L'effet papillon est une expression inventée par le météorologue du MIT (Massachusetts Institute of Technology) Edward Lorenz qui stipule que chaque action, même la plus anodine, peut avoir à long terme des conséquences colossales, souvent résumée par la question de Lorenz « Le battement des ailes d’un papillon au Brésil déclenche-t-il une tornade au Texas ? »

Le concept lui-même préexistait depuis très longtemps dans la sagesse des nations, à travers des proverbes comme petites causes, grands effets, ou par des sentences comme celle de Benjamin Franklin :

À cause du clou, le fer fut perdu
À cause du fer, le cheval fut perdu.
À cause du cheval, le cavalier fut perdu.
À cause du cavalier, la bataille fut perdue.
À cause de la bataille, la guerre fut perdue.
À cause de la guerre, la liberté fut perdue.

Tout cela pour un simple clou.

En effet, il se trouvait que dans un passé qui lui était trés lointain, qu'un groupe d'aventurier qui se nommaient les tonneaux joyeux venait de terminer leur sixiéme quête du moin. Ils étaient engagé par le puissant magicien Passip Uissant, qui était lui sous les ordres du grand roi de Rus-Scie : Poux-lais II que l'on surnommait aussi le roi aux deux poulets.
Nos aventuriers venaient de terrasser un terrible dragon qui se cachait au fond du fossé lorsque le temps et l'espace furent changé de force par le groupe daventurier. A tout jamais le futur sera changé car l'un des aventuriers venait de reverser un sceau remplis d'eau. Par malheur, un paysan qui se trouvait la (Par hasard) glissa et tomba à la renverse ce qui causa la chute d'une armure de bronze massife qui alla s'écrouler sur le pauvre comtable du chateau, qui déjà febrile devait mourire d'une entorse a la cheville dû non-pas à l'armure mais ,bien plus tard, à la remise en place du la dite armure. Donc notre pauvre comtable qui venait de mourire ne pouvait plus comptabilisé donc une partis du troupeau de vache du chateau ne pouvait etre vendu a un paysan suisse ce qui provoqua une chute du marché de la vache pendant des siécles......->

Et donc l'éleveur voisin, fort attristé au demeurant, décida de sacrifier Georgette car cette dernière ne vaudrait bientôt plus rien et qu'il voulait profiter du peux que lui rapporterais la vente de steak de beuf (et oui, c'est bien connu les steak de vache, ça n'existe pas ! ) pour se mettre à la plantation de navets.

Qui n'en seraient d'ailleurs jamais d'aussi beaux que ce truc qu'on est en train de pondre. Soit dit en passant.

Bref. Sans en avoir conscience, Georgette profitais donc, dans son pré, des derniers instants de sa paisible vie de ruminant. Mais ! Comme nous ne sommes pas en plein cour de Français (romantisme pas romantique et compagnie… j'me comprend Skyrr et Raelinn aussi d'ailleurs), arriva ce qui devait arrivé. Ayant pris connaissance d'une conversation entre son propre propriétaire et celui de Georgette, par le trou de souris du coin supérieur gauche de son étable, qui coïncisait avec le chalet de son maître dans lequel se réroulait ladite conversation, le taureau (qui avait le malheur de s'appeler Alfred) décida de s'enfuire avecsa bien aimée. Il fit un dernier bisou baveux à sa mère, et s'en alla tristement rejoindre sa chère Georgette.

Lorsqu'elle appris le sort affreux que lui avait réservé son bien aimé maître, Geogette poussa des cris d'indignation.
- Mheuuuuu.
(traduction : Mais c'est impossiiiiiible ! Il ne peut paaaas me faire ça à moi, sa vachette préférée, (ouin ouin) Alfred tu n'est qu'un affreux menteur sans la moindre vergogne qui prend plaisir à torturer les pauvres jeune géniiiisses. Dit moi que c'est faux!)
Ce à quoi Alfred ne put que répondre :
- Mheu, mheeeeu mmmmheu, mheu mhhhheu mheuu mmhheeuu mheu mheu.
(Traduction: non)
La discution en était làquant un bruit venant de lointain leur fit tourner la tête pour découvrire au loin deleurs yeux emplis d'horreur…

En effet, venant de l'ouest arriva un homme, plutot grand, avec une cape de cuivre, des botes en cuire aussi et par le plus grand des hasards connu ET incconu, un berret fait de peau de castor du Qébec. Nos amants pris de panique reconnu le vilain chasseur, connu sous le nom de : neneuille le vilain trappeur alias nazicroquette.
- Vous allez voir ce que vous allez voir, tapette de vache, dit le vilain chasseur, quand j'en aurais fini avec vous je me ferais un jeans de cuire. Et il se mit a rire de telle sorte que nos amants dure se plaquer les sabots sur leur oreilles. Ils déciderent de ne pas perdre trop de temps et ils s'enfuirent loin de la ferme où le vilain trapeur riait encore. (et cela dit en passant il devait rire encore pendant une bonne heure avant de s'apercevoir qu'il avait déja un jeans de cuire et par le plus grand hasard, il le portait). Donc notre couple de quatrupède senfuit de leur ferme et partire a travers les plaineeeeeeeeeees......

Malheureusement ils étaient en montagne, et comme s'était l'hiver, Tous les transport en commun étaient bloqués à cause de l'avalanche due à un flocon qui avait été privé de sortie par sa maman et qui, pour cette raison s'était mis en boule...
(là on remarque que ce n'est que la conjugaison de plusieurs effets papillons qui peuvent aboutirent à de grands résultats, et non un seul événement (qui a dit que l'union fait la force?))
Aussi, devaient ils partir chez l'armurier avant de fuir afin de pouvoir affronter Nazicroquette.
Malheureusement, en allant chez l'armurier ils devaient passer devant la boucherie, et arrivés à sa hauteur, Georgette s'exclamma: "Oh, non, les salaud, ils ont tués Kenny"
Et en effet, Kenny, le plus jeune veau de troupeau (celui qui était orange à cause d'une tartine mal beurrée qui avait dérégulée l'industrie du shampoing et aboutit à des emballages de pot de peintures indélébiles au emballages trompeurs et des sauces ketchup au contenu surprenant (en fait on était surtout surpris des triangles bariollés à quatres cotés qui passaient dans notre champ de vision en dansant la gigue et qui avait la méchante manie de fabriquer des prises de courant 220V en testant des réacteurs nucléaires à effets gravitationels inversé) se trouvait la, dans la vitrine du boucher (enfin, surtout la tête) et les regardait de ses yeux vides...

-Kenny, non! Comment ont-ils pu? Mais comment ont-ils pu? hurlait Georgette

-Surement en lui tirant une balle dans la nuque, puis en le laissant se vider de son sang et en le dépeçant avec leur gros écarteleurs à viande, je me souvient encore de la fois ou j'y avais assisté en secret et avait été surpris de la résistance des tendons, tu sais, quand ils font SKRRRAAAAATCH et que... répondit calmement Alfred.
-Immonde créature, comment ose tu parler ainsi de Kenny? questionna calmement Georgette, te rends tu compte que...

... Je suis ton père! termina Georgette en prenant un air menaçant et en sortant un sabre-laser de sa cloche. Soudain, l'athmosphère s'épaissit et Georgette parut plus grande et sembla avoir beaucoup de mal à respirer.
-D'ailleurs, tu as une soeur qui se promène avec deux gâteaux au raisin collés à sa tête! surenchérit Dark Georgette, avant de porter un coup à Alfred, qui l'évita en faisant une magnifique cascade impossible à effectuer pour un être humain, alors vous imaginez par un taureau... Alfred se redressa et ôta les lunettes de soleil qui étaient apparues sur son museau. Il resserra un peu son grand manteau noir de pédophile et sortit un téléphone portable de sa poche.

A cet instant, nazicroquette, que tout le monde avait oublié, surgit de derrière un buisson, et dit :

-Ah, j’vous aurai, tapettes de caribous, j’vai m’faire des mocassins avec la peau de vos oreilles (eh non, désolé pour tous ceux qui connaissent Laurent Gerrat)

Alfred composa calmement un numéro sur le téléphone portable et lui lanca le combiné en disant : « c’est pour vous » Nazi. Le ratrapa, le prta a son oreille, et sa figure se décomposa, juste avant que son corps ne disparaisse dans un petit tourbillon de fumée. Une seule phrase resta en suspend, elle disait : « E.T. télèphone Méson »

-Qu’a-t-il dit ? Demanda Georgette
-Il parlait de particules élémentales, Lui expliqua Alfred. Mais Georgette avait, en réalité, feinté, car elle savait parfaitement que les mésons appartenaient à la famille des leptons, bosons, et autres particules fondamentales. Elle profita de la baisse de vigilance de son adversaire pour tenter une attaque fourbe avec sons sabre laser, mais fut prise d’une quinte de toux à cause de l’asthme qui lui procurait sa voix sa voix caverneuse. Alfred contra d’une sixte de toux, doubla en tierce et finit en opposition au visage, avant de se rendre compte qu’il n’avait pas dégainé son arme.Ne voyant plus que faire, il sauta dans les bras de la génisse en criant à plein poumons CAUPAIN.

Cette dérnière écarta les bras de manière spontanée pour recevoir le câlin et fut désequilibrée par le choc. Tout deux roulèrent dans la poussière en se faisnt des bisous, et se relevèrent à dix metre l’un de l’autre en crachant chacun une dizaine de kilos de sable.

C'est à cet instant précis, entre les deux quinte de toux de Georgette et la mort affreuse de la fourmi qui se trouvait sous le sabot avant gauche de Alfred, trois millième de seconde avant que le soleil au loin ne touche la pointe du troisième sapin en partant du terrier de la marmotte lorsque l'on se tenait à quarante degrés sud depuis un reste de sandwich oublié quelque part par terre, à cet instant précis disais-je qu'il y eut un moment de battement d'une durée de une seconde trois dixième et cinq centième où il ne se passa absolument rien.

Les oiseaux arrêtèrent de voler, les castor de nager, nos deux bovidés de tousser et votre serviteur de faire tout rimer. Et ensuite seulement Georgette sembla soudain se réveiller en prenant une inspiration bien méritée après la crise d'Asthme qui venait de la submerger et se jeta à genoux devant Alfred pour lui demander pardon. Mais, Oh rage, Oh désespoir, Oh cruel… (c'est quoi la suite déjà ? ) Bref, pas de bol, Alfred cligna de ses deux yeux vide et, regardant sa bien aimée d'un air stupide demanda.

- Tien c'est bizarre, votre visage m'est familier. Serait-ce possible que nous nous soyons déjà croisé au "paravent", Ce café fort propre et agréable qui se trouve à deux rue de…

La phrase ne connut jamais sa fin car elle la vit venir, Georgette senti les larmes lui monter aux yeux et se mit à sangloter à gros bouillons. Je ne vous raconte pas le déluge.

Mais elle se reprit bientôt et décida de faire retrouver la mémoire à son pote Alfred. Le traînant par la patte, elle l'emmena chez Heidi, se disant qu'ils seraient à l'abri pour remettre leurs idées en place. Une fois arrivés, elle regarda Alfred dans le fond de ses yeux de bovin et lui dit:
- Quel est ton nom?
-Ich heisse Hans, répondit Alfred, und ich mag Schnitzel.
Georgette comprit que tout était perdu, désormais. Jamais elle ne retrouverait la conscience de son ami. Mais soudain, une idée lui vint: et si elle demandait de l'aide au magicien d'Oz?

Et c'est ainsi que nous retrouvons Georgette, en train de se préparer pour le voyage à venir. Elle repasse son tablier, natte ses couettes et enfile ses souliers d'argent, avant de charger sur son dos sa provision de foin préalablement emballé dans une vieille chemise, une peau de lion au cas où il ferait froid la nuit et un amas de bouilloire et de casseroles pour la préparation de divers repas dont elle n'a pas besoin puisqu'elle fait partie de ces animaux qui mange de l'herbe. Mais peut-être le gratin de foin est-il plus comestible qu'on ne le croit, après tout je ne connais personne qui aie jamais tenu à prouver le contraire. Et donc, Georgette s'en alla en chantant et en traînant son barda et un Alfred encore sous le choc de sa compréhension soudaine de l'Allemand. Car il n'est pas de plus grand choc dans une existence de vache ou toute autre existence non Germanophone que de se rendre compte qu'on est capable de comprendre cette belle langue qui est celle de Goethe sans avoir besoin d'une encyclopédie à ses côtés.

Et sur un horizon de soleil couchant on pouvait voir leur deux silhouette tandis que le vent vous apportait des bribes de voix.

I'm a poor Lonesome cowgirl with a long long way from hooome…

Alors qu'ils marchait tranquillement, il virent:

-Une petite fille en train de pleurer devant un tas de mariruana avec, à ses cotés, deux types bizarres qui lui expliquaient que "tu comprends, Dorothée, c'étais pas vraiment de la paille dans l'épouvantail..." et ils disaient ça en fumant un Giga-Bedau...

-Une chute de cathédrale de la part d'un Meujeu situé à plusieurs jeu de là et qui avait fait une erreure d'appréciation sur la tête d'une pauvre vieille qui n'avait rien demandé à personne...

-une grosse chose visqueuse qui se déplacait en reptation, qui disait des trucs du genre "Je me vengerai" ou "Sbleurkbveurteusqqu'eudn" et qui avait un gout de framboise au caramel selon Alfred...

- Deux ou trois horreurs mineurs, qui vinrent varier leur régime alimentaire


Mais au matin du septième jours, un évenement particulier vint troubler la paisible promenade de santé, en effet un terrible chateau de pierre leur barrait la route, et ce chateau était l'antre de la perdition, le siège du mal, Même le ciment qui scellait les biques entre elles était maléfique et suaintait la tentation...


Et là, devant l'entrée, juste au dessus d'eux, se trouvait les terribles mots de pouvoirs,

-Adultes: 14.-
enfants: 10.-
étudiants: 12.-
bovins: 33.-
bovins amnésiques: 32.95

Et voila que Georgette sut.

Elle sut que sont destin était scellé, encore qu'elle ignorait quel était son destin, avec quoi il était scellé, bref, qu'est-ce qui se passerait après...

Car, devant eux, en lettres Gigantesques, se trouvait l'ultime jugement, la dernière épreuve, la souffrance des souffrance, et un voix souffla à l'esprit de Georgette: "Oui, ceci est bien ce que tu craignais, il s'agit de ce lieu maléfique et mauvais, il s'agit du terrible DisneyLand".

Et une tête avec de grande oreilles les regardait en ricanant...

Et dans le soleil couchant, on pouvait remarquer que Miqueï était affublé d'un léger strabisme et qu'en plus de cela il avait de la cire plein les oreilles...

Alors Georgette avança, suivie d'Alfred. Elle ne pouvait plus reculer, pas maintenant... Elle tremblait lorsqu'elle demanda deux billets d'entrée à la vendeuse déguisée en Cendrillon, et failli pleurer de terreur lorsque cette dernière lui demanda d'une voix acide:
-Adulte ou enfant?
Georgette répondit courageusement qu'elle voulait deux billets adultes, puis elle prit son courage à deux sabots et entra dans le repaire de la Bête en titubant. Elle avait la même tête que si elle entrait dans un abattoir... Quant à Alfred, inconscient du danger, il gambadait comme un jeune veau dans l'allée de briques roses en mangeant la plus grosse barbe à papa de la Création.

Soudain, un Dingo difforme se précipita sur eux afin de leurs vendre des cartes postales souvenirs.
Heureusement, la barbapapa d'Alfred s'interposa (en effet, c'était une barbapapa magique, d'ou sa taille) et absorba le terrible Dingo, se teintant en rose légèrement plus foncé. Georgette ne savait que faire, mais l'immonde être de sucre se chargeait de la digestion de l'ennemi et tout danger fût bientot écarté... (même les autres vendeurs n'osaient plus s'approcher d'eux...)

Alors qu'ils se dirigeaient vers le train fantôme, une voix rauque les interpella...

"Par mes oreilles et mes moustaches", dit la voie voulez vous un bonbon et monter dans ma voiture, mes petits agneaux?

Alors qu'ils se retournaient ils virent une forme MichaëlJacksonoïde s'avancer vers eux... Georgette essaya de lui envoyer un coup de sabot dans l'entrejambe, mais, manque de pot, il n'y avait plus rien à endomager à se niveau là, aussi prit-elle son courage à quatre patte et invoqua-t-elle Shiva (GForce de la glace) qui explosa la créature en moins de deux...

Alors qu'ils se reposaient et reprenaient leurs souffle, Georgette eut une idée, elle se jeta sur les restes du truc et en extirpa des morceaux de permi de conduire et de carte de crédit qu'elle recolla avec sa photo...

Ils possédaient désormais une voiture américaine surpuissante et 50'000$ US (de quoi faire 4 plein, le pick-up consommant beaucoup et le prix du baril ayant augmenté après que Bush ait attaqué toute la terre entière...)

Ils avaient maintenant un pick-up, un pick-nick et un pick-pocket qu'ils explosèrent en moins de deux en ramassant au passage une dizaine de cartes de crédits et quelques faux papiers.

Le voyage allait bon train malgré les difficultés à conduire avec une pair de sabot en guise de mains et un abruti qui passait la tête par la fenêtre et dont les lêvres claquait au vent. (sans compter que les mouches se prenaient dans les filets de bave pendantes et ralentissaient la progression de la voiture...)

Aussi finirent-ils par arriver au pays d'Oz ou, comme le dit le dicton: "Zi d'Oz bas, d'es gu'une Dabette, et zi d'Oz-haut, alors d'es gu'un affreux Zozo!"

Nul ne connaissait le sens de cette phrase, mais le peuple la gardait en souvenir, et ça aurait couté trop cher de refaire tous les drapeaux...

Alors qu'ils étaient face au palais, ils décidèrent de rentrer (comprenez: dans le palais, pas chez eux...) mais un garde les arrêta. Ils ne pouvaient passer, il se tenait là, menaçant avec sa lance au milieu du chemin, endormi debout. Il le reveillèrent, lui dirent que s'était la relève et passèrent sans problème, lorsque SOUDAIN...

Un lapin blanc vêtu d'un gilet passa à côté d'eux en chantant "En r'tard, en r'tard, j'ai rendez-vous quequ'part je n'ai pas l'temps de dire au'rvoir je suis en r'tard en r'tard" et en agitant une montre à gousset.

Georgette estima qu'il valait mieux placer cette apparition sous le coup de la fatigue et éviter d'y repenser.

Le château avait une apparence sinistre. Gris, avec des gargouilles déformées en guise d'ornement, des tours sombres et des meurtrières pour seules ouverture mis à part la grande porte. Ils s'apprêtaient à utiliser le marteau en forme de tête de monstre lorsque elle s'ouvrit soudain en grinçant affreusement.

"Oh mon Dieu, quel bruit mais quel bruit!" S'exclama un petit homme bossu qui sortait (quoi ? vous croyez que les portes de château grinçantes s'ouvrent toutes seules ?) et s'approchant du gond, le bossu sorti une bouteille d'huile de sa poche et en déversa sur les gonds jusqu'à ce qu'ils ne fassent plus le moindre bruit.

"Bien, maintenant si vous voulez bien me suivre, mon maître vous attend."

"Il nous attend ?" Demanda Georgette étonnée.

"Vous parlez du Magicien D'Oz, vous ne croyiez tout de même pas que vous pouviez venir chez lui sans qu'il le devine non ?"

"Ben…"

"D'ailleurs nous allons vous demander de laisser votre ami dans la cour du château, si il entre il va casser le vase du grand hall et c'est une pièce très rare."

"Ah…"

Qu'est ce que la pauvre vachette pouvait bien répondre à ça ? Elle laissa Alfred dans la cour et suivi le bossu (boiteux et borgne par dessus le marché) à travers le château.

Alors qu'elle laissait le pauvre Alfred batifoler derrière les papillons, Georgette suivi, en trainant les pieds, le petit homme.

Après être passés par des couloirs sombres, d'autres lumineux, d'autres encore blrehgjfgsnflaaiuueux, il arrivèrent devant une grande porte toute de bois sculpté.

Les frises s'élançaient vers le ciel comme autant de doigts tendus vers un idéal à jamais perdu. La mélodie du désespoir se répercutait dans les traits délicats de ceux qui s'étaient figés dans cet instant d'éternité.
Et dans cette fresque sublime se dressait le génie de jadis, révélé par les coups de ciseaux adroits et les traces de ketchup en bas à gauche, reste, sans doute d'un repas trop vite avalé...


-C'est splendide!!!! S'écria Georgette médusée

-Oh, vous savez, au bout d'un moment ça lasse... répondit le bossu. Entrez, mon maître vous attend.


Et tandis qu'elle avancait, tremblante, elle vit se réveler les subtiles nuances du passé au travers des murs sculptés et des vitraux aux éclats prismatiques chatoyants. Le cristal dont ils étaient fait était le plus pur que l'on pouvait trouver, et l'exploitation des gisements de par le monde avait détruit bon nombre d'écosystèmes et réduit en esclavage es centaines de tribus indigènes qui n'avaient rien demander à personne.


Au fond, sur un trône entouré de télévision, en train de jouer à HALO en ligne se tenait le magicien, il la salua en ces termes:

-Je te salue, Néo. Je suis l'architecte... Euh, non, merde, c'est pas à toi que je dois dire ça,
-Je suis ton père? Non plus, ah oui, je suis le magicien d'Oz, je ne peux pas te renvoyer chez toi, ta maison est de toute façon foutue, et ton grand-père est devenu alcoolique et bat ta grand-mère. Alors reste ici que je puisse te prostituer!!!


-Euh, je ne m'appelle pas Dorothée, et j'ai besoin de votre aide, pour mon ami qui est devenu fou

-Il n'avait qu'a pas fumer la Ganjas!

Sur ce Georgette colla une droite au petit insolent de magicien (et un sabot, c'est dur) et lui ordonna de trouver une solution

-TROUVEZ UNE SOLUTION!!!!! rugit-elle

Et au passage, elle s'aperçu que monsieur Oz était en train de développer une extension au jeu World of Warcraft, et compris que bientôt des âmes innocentes allaient se retrouver piégées dans un univers terrible d'heroic fantasy...

A ce moment-là, elle compris que les concepteurs de la matrice avaient également créés le monde de WoW (World of Warcraft, je traduis au cas ou...) afin de se faire un max de thunes et ainsi de créer des société sur internet dans lesquelles recruter de nouveaux esclaves, abêtis par les messages subliminaux envoyés en secrets sur les serveurs...

En fait, il s'agissait d'un immense réseau tentaculaire visant à la mise en esclavage des internautes par une neuro-succion duz cerveau, ce qui expliquait le niveau moyen des adeptes de ce jeux...**

Alors, elle se facha toute rouge, mais un cri, venant de la bassecours la fit se jeter à la fenêtre (et pas par la fenêtre), juste à temps pour voir Alfred se faire enlever par le boucher et ses assistants...

(mais qu'allaient-ils faire de lui??? jouer au strip-pocker?)




**[hrp]spécial dédicace à Burling qui nous a quitté pour rentrer dans sa secte de joueurs de cartes magics et de spédéf niveau 6'750 DTG (Dans Ta Gueule) et qui n'a (presque) plus donné signe de vie depuis...
Burling, si tu nous entend, n'hésite pas à nous faire savoir que tu es vivant, ou que tu soit... (et sinon on esseyera de trouver des queues de phénnix ou de la matéria "ranimer")[/hrp]

Pendant ce temps, Oz (le félon) s'était approché de Georgette par derrière afin de lui faire un coup vache. Mais que pouvait-il face à elle? Les coups vaches, s'était son domaine, aussi prit-elle le taureau par les corne, et retourna une droite dans le ventre du félon félé. Pis, voyant celui-là faire sa chèvre, elle lui cria:

"Mais enfin, vous faites le mal parce que l'on vous à fait du mal. Vous perpétuez l'abberation, c'est le serpent qui se mords la queue..."

...




...




...




...




...




[hrp]Désolé, mon père est venu faire une intrusion dans ma vie privée (en fouillant et commentant mes affaires et textes ainsi que mes activités), me coupant d'un seul coup l'inspiration, l'envie d'écrire, et la motivation à lui filer le coup de main qu'il est venu ordonner.

Mais bon, comme j'ai pas le choix, je finirai une autre fois... (ou vous finirez...)[/hrp]

Alors qu'Oz la regardait, hagard, elle grogna "gare à te pattes si tu me retouche..." Signifiant qu'il n'avait pas interêts à modifier le logo "cameloni" de ses nouilles.

Ensuite, après une brève integration matricielle dans une banale inéquation différentielle avec valeurs absolues, elle se jeta par la fenêtre et ratterit gracieusment dans la cours en rouler-bouler et se précipita à la poursuite des kidnappeurs d'Alfred...

Ceux-là se dirigeaient, à présent, vers une porte dérobée. Heureusement pour Georgette, celui qui avait dérobé cette porte n'avait pas fais du bon boulot, et l'avais simplement appuyé contre le mur. Aussi ce fut à la surprise générale que l'on vit les quatres cruels et leurs victime ouvrir la porte, passer le pas et refermer derrière eux. D'autant que lorsque Miss G. tenta d'ouvrir à leur suite, l'ouverture ne lui révéla que quelques briques et pierres grises.

Aussi Miss G. décida de faire le point.

Elle avait amené son amis Alfred se faire soigner chez le magicien Oz après que celui-là eut été atteint du syndrome de Graffenbeerg-Ursula von Stecker Grossen Bier und Schweinhund (prononcer toutes les consonnes précédées et suivies d'un "r")

Celui-là était un traître, et pendant qu'ils discutaient affaire, le boucher et ses assistant s'étaient emparé de l'innocent et avaient pris la poudre d'Escampette (ce qui fait que cette pauvre Escampette serait bientôt en manque de cocaïne...) et avaient fini par se réfugier dans une dimension parallèle située au niveau d'un mur.

A ce moment là, Georgette compris une petite chose qui allait la faire avancer. Ils s'étaient trouvés un "Planque". Or elle se souvenait de ses cours de physique ou on avait cité le mur de Planck, cette propriété qui ne valait qu'à l'échelle subatomique... C'étaient là qu'ils attendaient, chantant des quantiques ondulatoires entre deux orbitales électroniques.

Mais comment faire pour devenir assez petit pour les rejoindre sans se faire anihilier ni engendrer la formation de 50% de sa masse corporelle sous forme d'antimatière???

Elle décida de téléphoner à un ami, le 50-50 n'étant pas des plus indiqué (comme vu ci dessus) et le publique faisant de toute façon n'importe quoi...

Tuuuut, Tuuuuut, Tuuuut, <<clic>>


[Voix pâteuse]Allô? c'est pour quoi? j'ai dit que je ne voulais pas de publicité par téléphone...[/Voix pâteuse]

-Albert? C'est Georgette, ta vachette adorée, dis-moi comment je fais pour passer le mur de Planck sans générer d'antimatière? Je ne peux pas me faire onde et particule, comment faire???

-T'as qu'à accélérer jusqu'à atteindre la vitesse de la lumière, ta masse devrai engendrer une distorsion spatio-temporelle suffisante pour te projeter dans un univers nanoscopique...

-Merci, mais j'ai pas envie de grossir...

-Bon, c'est ça ou tu t'arrange pour chevaucher des Bosons de Higgs et tu me fous le paix <<clic>>

-Merci pour ton aide... Et m**** il a toujours pas digéré la physique des particules, celui-là... C'est pas vrai de vouloir fusionner à ce point les trous noirs et les neutrinos muoniques...


Soudain, elle eut une idée complètement HS, mais qui marcha. Jugez plutôt:

-Melon!!! Ce qui signifie, en elfique ancien, "ami" et qui doit ouvrir les portes pour aller sous les montagnes et permet, en plus de réveiller les Balrogs sous vallium....

Et la porte s'ouvrit sur un monde parallèle.

Dans cet univers parallèle, il y avait une information par allèle, les allèles étant des parties de codes génétiques. C'était le très saint père Pendiculaire qui les stockait entre ses vacuoles ovoïdes.

Les apprentis bouchers du dimanches, pixellisés au possible afin de réduire leurs spins électroniques au maximum, fuyaient sous l'oeil sévère du Pater noster, provoquant une irritation et le faisant pleurer beaucoup.

-Espèces de positrons mals stabilisés... Vous n'avez pas hontes de souffler ainsi alors que c'est dimanche??? (car en effet, les bouchers soufflaient fort sous l'effort que constituait le transport d'Alfred)
En principe, le dimanche, c'est la messe. Et pendant la messe, on se trait!!!!!

Bien sur, Georgette voulait dire, on se tait, mais son lapsus l'avait devancé, et elle se retrouva entouré de fermiers et de boilles à lait menaçantes qui voulaient lui faire reconsidérer Pi...

Rapide comme l'éclaire, elle sortit racine de deux des irrationnels et y associa toutes les racines paires de -1, ce qui laissa les fermiers abasourdis et lui permit de se lancer à la poursuite des bourreaucrates (puisqu'il s'agissait de bourreaux fonctionnaires, faisant la grève à tout bout de champ et entretenant la guerre des bureaux...)

Soudain, elle eût une idée (encore une, mais ou va-t-elle les chercher???)

-Les salaires vont diminuer et le pouvoir d'achat des bouchers va baisser, cria-t-elle...


Aussitôt, vifs comme l'éclair, les kidnappeurs hissèrent les drapeaux, ralentir le pas et commencèrent une marche de protestation, ce qui permit à l'héroïque bovine de rejoindre le groupe en trois sauts d'agile cabri qu'elle n'était pas...

Les bouchers gréviste, s'étant délestés du poids mort que formait Alfred, partaient dans une ruelle transversale ou l'on entendait vaguement le tic-tac de vieilles horloges Grand-mère et abandonnaient à la pauvre Georgette un Alfred évanoui.
Notre infortunée génisse se mit alors à devenir très, très rouge et hurla à travers un micro
- Capitaine Short! Venez ici tout de suite et emmenez avec vous la section neuf!

Quelques instants après une élégante elfe vêtue d'une combinaison, d'un casque et d'ailes apparut, suivie d'une quinzaine d'Aston Martin contenant chacune deux petits êtres bleus emmitouflés dans de superbes smokings et tenant chacun dans les mains un gros pistolet muni d'un silencieux.

Mais soudain un être squelettique se rua sur cet intrigant groupe en hurlant
-MON PRÉCIEUX!!!

C'est alors qu'un personnage aux pieds poilus, armé d'une dague brillant d'un bleu étincelant, cria:
-SMEAGOL! Venez nous ne sommes plus sur la bonne route!
Mais l'être squelettique ne daigna pas répondre ou ne l'entendit-il pas car il s'était caché, fuyant les schtroumpfs en smoking qui lui tiraient habilement dessus...